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CHANSON POUR MANIF:
09/10/2010 18:19
Nous sommes en crise, la décadence mondiale de notre pays se poursuit, alors chantons en manifestant ! À partir de "Douce France" de Charles Trénet, j'ai réécrit le refrain en "Pauvre France" qui colle assez bien pour de nombreuses manifs. La mélodie du refrain étant la partie la plus connue et la plus mémorisée, il est inutile d'écrire des couplets. S'il le faut, pour des sujets nouveaux, d'autres refrains (avec des rimes différentes) peuvent être créés le moment venu !
PAUVRE FRANCE
Pauvre France
Un pays en décadence
Où il faut pour sa pitance
Aller aux restos du coeur !
La racaille, d’lafinance aux gestions nases
vol' des gens de tous les âges
qui cumulent les rancoeurs ! (variante ; qui accumul’les rancoueurs)
Oui je gueule !
Les gouvernants nous malmènent
Oui je gueule !
Car eux seuls font bien leur beurr(e)
Pauvre France
le mot d’ordre est la défiance
Non nous n’avons plus confiance
Il n'y a plus’q des arnaqueurs !
Lès Gabrieli
Mes Solutions des pluriels (il y en a d'autres bien entendu)
Un chomeur...... Des employés (bien que désemployés en un seul mot convienne )
Un con ............. Des instruits (notre système éducatif abêtissant au lieu d'instruire produit plein de "désinstruits", chacun revenant grosso modo au singulier proposé. Je sais cela se discute mais c'est un long débat.... Vous comprenez mieux pourquoi on entend souvent dire des intellectuels que ce sont des cons))
Un nain.......... Des mesurés (quelque chose de petit est forcément mesuré, mais il n'est pas non plus interdit d'envisager un nain qui soit démesurément petit auquel cas comme le dit un humoriste:"il était si petit que quand il parlait il sentait des pieds")
Un char à bancs........... Décontractés ( l'usage de chars ne se conçoit pas autrement qu'avec des passagers décontractés, on se souvient tous de l'histoire des rois fainéants qui, prestige oblige, utilisaient des litières et non des bancs. Loin de moi l'idée de penser à "des cons tractés", À ce propos une expression voisine a vue le jour au cours du 20ème siècle dans les embouteillages parisiens où il n'était pas rare de voir un automobiliste râler après un "escargot" qui l'empêchait d'accélérer. IL prononçait alors le formule magique pour ouvrir la voie: "Alors, tu l'avances ton traîne-con(s) ?")
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